J’ai grimpé souvent avec la silent partner / jamais avec le soloist, donc je peux pas directement faire de comparaison. Mais voici le côté de la médaille pour le silent partner.
Un outil de grimpe pour s’aventurer seul de manière sécuritaire ou alors pour s’entraîner (laps) qui va « assez » bien. C’est pas direct en le sortant de la boîte par exemple. Ça prend pas mal de pratique, une routine dans l’utilisation et un « back-up plan » pour se sortir de n’importe quelle situation. Souvent le noeud se sert très fermement après une chute, et si tu es dans le vide, pas de prussik, pas d’ascendeur, pas d’ATC, ton restant de journée risque d’être long. Tu peux désamorcer la barrure du mécanisme même dans ce cas, mais ça ne se fait vraiment pas super bien.
Ça fait aussi pas mal de stock sur le harnais et une gestion de corde qui frôle la folie. Si tout est bien rodé, ça va ben! 😉